PREVENTION OF HAZARDS FROM CHRONIC TOXICITY OF COSMETICS 331 The following were invited but were unable to attend: Dr. M. G. Allmark, (World Health Organisation), Geneva, Switzerland. Professor W. S. Bullough, London, England. Dr. C. Bessler, Rome, Italy. Professor Sir Charles Dodds, London, England. Professor M. J. C. I)ols, s-Gravenhage, Holland. Professor H. A. Gottron, Tiibingen, Germany. Professor G. Joachimoglu, Athens, Greece. Dr. R. K6nig, Basle, Switzerland. Dr. A. J. Lehman, Washington, D.C., U.S.A. Dr. L. Shabad, Moscow, U.S.S.R. Dr. E. Uhl, Copenhagen, Denmark. Dr. H. Van Genderen, Utrecht, Holland. Professor H. Von Euler, Stockholm, Sweden. Professor A. Virtanen, Helsinki, Finland. Professor O. Warburg, Berlin, Germany.
332 JOURNAL OF THE SOCIETY OF COSMETIC CHEMISTS PRP, VENTION DES RISQUES DE TOXICITP, CHRONIQUE POUVANT RP, SULTER DE L'EMPLOI DES COSMP, TIQUES ET PRODUITS DE TOILETTE UN SYMPOSIUM sur la prdvention des risques de toxicitd chronique pouvant rdsulter de l'emploi des cosmdtiques et produits de toilette, le 6dme d'une sdrie organisde par le Comitd Europ•en Permanent de recherches pour !a protection des populations contre les risques d'intoxication long terme ("Eurotox"), s'est tenu au "Chester Beatty Research Institute," •t Londres, du 30 Octobre au 2 Novembre 1961, sous l'egide du Professeur E. Boyland et sous la prdsidence du Professeur Rend Truhaut, de Paris. Les participants de 10 pays diffdrents (voir en annexe I*) ont approuvd l'unanimit6 le rapport suivant: CONSmERATIONS GENERAl. ES I1 a dtd reconnu que l'emploi des cosmdtiques et produits de toilette pouvait contribuer h la protection de la santd et, plus ou moins directement, h l'amdlioration du bien-•tre de la population. L'usage inconsiddrd de certains produits dans les prdparations cosmdtiques peut constituer un danger pour la santd publique. I1 a dt• en premier lieu ddcidd de considdrer la toxicitd chronique en gdn•ral, mais d'exclure les phdnom•nes de sensibilisation et l'allergie qui feront l'objet d'un autre symposium. I1 a dtd soulignd que, pour de telles dtudes, une dtroite collaboration entre !es toxicologues et les spdciahstes de la cosmdtologie •tair fort ddsirable, afin d'obtenir des informations sur !es substances employdes et !es conditions de leur fabrication et de leurs usages. Les participants souhaitent que cette coopdration avec l'industrie soft maintenue et renforc6e. Au cours de cette premiere rdunion, il dtait manifestement impossible d'entrer dans les ddtails et d'examiner tousles groupes de produits et de constituants. Le prdsent rapport doit donc gtre considdrd comme une dtude prdliminaire. Les effets de toxicitd long terme sont difficiles h discerner chez l'homme. 3/l•me si une faible proportion de la population seulement devait courir de tels risques, tout doit •tre fait pour l'en prdserver. C'est ainsi que la pro- duction de cancer dans une proportion de la population tr•s infdrieure celle indispensable pour une dvaluation par les mdthodes biologiques actuelles, soft dpiddmiologiques, soft expdrimentales, pourraft quant m•me gtre serieuse. Bien qu'aucun cas de cancer n'ait dtd attribud •t l'irdluence directe des cosmdtiques, il est toujours prdfdrable de prdvenir les maladies qui * page 329
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